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 Définition d'une Free party - Wikipédia

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Kspr

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Date d'inscription : 19/01/2006

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MessageSujet: Définition d'une Free party - Wikipédia   Définition d'une Free party - Wikipédia EmptySam 21 Jan - 6:31

Free party

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Une Free party (aussi nommée teuf ou rave-party) est une fête techno gratuite ou dont le tarif à l'entrée est libre et laissé à l'appréciation des participants. La Free party se déroule souvent dans la nature (forêt, montagne...) ou dans des usines ou hangars désaffectés. Le terme le plus usité à l'origine était celui de rave party. Aujourd'hui, les « raves » désignent plus souvent les fêtes commerciales, tandis que les « free parties » se fondent sur la gratuité -ou semi-gratuité- et la clandestinité.

Sommaire
1 Présentation
2 Histoire
3 La polémique
3.1 Atteinte aux droits fondamentaux
3.2 Pollution et dégats matériels
3.3 Les accidents
3.4 La drogue
4 La répression
4.1 La loi
4.2 Les réactions
5 Exemples de grands rassemblements
5.1 En France
5.2 Dans le reste du monde
6 Divers
7 Voir aussi
7.1 Articles Connexes
7.2 Liens externes



Présentation

La free party est une Temporary Autonomous Zone où un sound system « 'pose' » du « son » (musique) pour en faire profiter les participants. Le lieu est tenu secret jusqu'au commencement de la fête, et cela donne souvent lieu à un jeu du chat et de la souris avec la police. En France et d'après la loi, la fête doit être déclarée au préfêt pour autorisation. Dans les années 2000, le gouvernement a pris de nouvelles mesures pour limiter la clandestinité de ces rassemblement, notamment en proposant, en l'échange d'une déclaration préalable et de fouilles de police, la réquisition de terrains et de véhicules du SAMU et/ou de la croix-rouge.

On estime qu'à une époque, il y avait quelques dizaines de fêtes libres chaque week end en France (de taille variable, pouvant rassembler plusieurs milliers de personnes ou de l'ordre d'une centaine dans le cadre d'une soirée plus privée). En France, on estime à une centaine le nombre de Sound system, c'est-à-dire des groupes possédant en commun un matériel de sonorisation destiné à être utilisé en free-party.

Free ne veut pas dire gratuit, même si c'est souvent le cas, mais libre.

Histoire

Des ancêtres des free-party eurent lieu dans les Catacombes de Paris dans les années 1980, où les mêmes phénomènes de clandestinité se reproduisaient. Le public en était typiquement une jeunesse étudiante ou désœuvrée, de bon niveau d'étude, familière de l'histoire de Paris. L'assistance en était limitée à quelques centaines de personnes au maximum, à cause de l'exiguïté des galeries, de la difficulté d'accès, mais aussi parce que l'usage d'Internet et du téléphone portable était à l'époque inexistant, limitant ces rassemblements à un petit milieu d'habitués, qui incluait dans une certaine mesure les fonctionnaires de Police assignés à leur surveillance, ainsi que le personnel de l'Inspection Générale des Carrières (IGC).

Mais c'est au début des années 90 que les free parties sont réellement apparues en France. Ce mouvement est arrivé d'Angleterre. En effet, c'est en Grande-Bretagne que ces fêtes ont commencé. Au début des années 80, la techno est apparue dans les clubs anglais mais sous le gouvernement Thatcher, ces clubs furent soumis à des lois draconiennes, comme la fermeture à deux heures du matin. C'est à ce moment que naît le phénomène des raves (to rave signifie en anglais « battre la campagne, s'extasier, déblatérer »), à l'initiative des clubbers souhaitant poursuivre leurs soirées après cette fermeture. Les citadins trouvent alors accueil auprès d'une couche marginale de la population : les travelers (« voyageurs »), sorte de nomades issus du mouvement punk des années 70 et qui sont à même d'organiser ce type d'événements à l'extérieur des villes. Les plus impliqués dans le mouvement s'organisent en tribus et répandent le mouvement à travers le pays. Le 'Sound system' mythique qui fut à l'origine de ce mouvement en france (techno et Free-parties) est le Spiral tribe. Vécu au cœur : la tribu arrive fin hiver 1993 à Montpellier et commence à organiser free party sur free party pratiquement tous les week-ends. L'impact est très fort, les files de voitures aux lieux de rendez-vous sont importantes, les fêtes sont de plus en plus populaires et le sentiment collectif de participer à quelque chose de nouveau et de non commercial, hors de la main mise des majors et des patrons de discothèques distillants la boisson et la musique issue de grandes campagnes commerciales, tout en vidant les poches de pauvres consommateurs. Ainsi sont nés les teufeurs.

Les ravers se retrouvent à l'heure où les clubs ferment pour de véritables jeux de pistes qui les promènent entre différents points de rassemblement. Mais face à la prise d'ampleur du mouvement, le gouvernement brtannique décide de réagir et adopte pour cela de nouvelles lois. On citera en particulier le Criminal Justice Act de 1994 qui « interdit tout rassemblement illégal de plus de cent personnes sur fond de musique répétitive », les raves sont toutes désignées.

La polémique

Bien que ces soirées soient considérées par leurs protagonistes comme des endroits d'échange, de partage et de gratuité, une certaine partie de l'opinion publique française ne le voit pas de la même manière et le phénomène fait souvent l'objet de critiques, plus ou moins fondées. La polémique est également présente sur la légalisation de ce genre de fêtes, les raveurs voulant plus de libertés, le but de ces fêtes étant de se libérer du travail et de la société de consommation.

Atteinte aux droits fondamentaux

En-dehors des nuisances sonores et de la pollution entraînées après coup, le premier sujet de polémique est l'atteinte au droit de propriété. Il est en effet rare que les propriétaires des terrains sur lesquels ont lieu les free-parties soient contactés. Si cela n'est pas choquant pour une construction industrielle désaffectée et effectivement laissée à l'abandon, les terrains agricoles, prairies ou terrains ensemencés sont par contre utilisés par leurs propriétaires. Malgré tout on remarque que certains organisateurs ainsi que d'autres acteurs du mouvement tentent de communiquer avec les propriétaires afin de limiter les conflits et de faciliter la recherche d'un terrain adéquat. D'autres encore recherchent un endroit loin de toute trace d'urbanisation et de vie humaine susceptible d'être dérangée par le bruit et n'appartenant à personne.

Pollution et dégats matériels

Les free-party font souvent l'objet de plaintes, en particulier de la part des riverains et des propriétaires des terrains sur lesquels ont lieu ces fêtes. Les premières plaintes concernent les nuisances sonores. En effet, bien que les fêtes aient lieu dans des endroits reculés, la puissance des sonos (plusieurs dizaines de KiloWatts) fait qu'elles sont audibles à plusieurs kilomètres à la ronde. Les raves parties ayant lieu en général dans des lieux calmes, elles détruisent parfois pour plusieurs jours cette qualité de vie. Le piétinement, la circulation automobile détruisent la végétation, laissant un terrain écologiquement dévasté.

De plus, les ravers n'emportent pas toujours avec eux les reliefs de leurs fêtes. Il arrive que pour une fête de trois jours, ce soit plusieurs tonnes d'ordures qui restent en plein champ, à charge de la commune ou du propriétaire éventuel de financer le ramassage. Mais il faut tout de même tenir compte du fait que cette pollution n'est causée que par des raveurs irrespectueux et qui ne semblent pas bien comprendre les vraies motivations du mouvement, notament le respect de la nature et donc le nettoyage des lieux après utilisation! Tout le monde peut participer au netoyage des lieux!

Il est encore arrivé (au col de Vars) que plusieurs véhicules incendiés soient laissés sur les lieux.

Les accidents

Le reproche principal fait aux free-party est le nombre d'accidents mortels ayant eu lieu au cours de ces fêtes. Ces accidents ayant été pour la plupart causés par l'absorption de drogue. Bien que ces accidents ont été largement médiatisés laissant croire à la dangerosité systématique de tels événements, la réalité est tout autre. Le pourcentage d'accident par rapport au nombre de participants, au nombre de soirées organisées est infime et en rien supérieur à celui d'autres événements festifs. Cependant, ils ont marqué les esprits par le fait qu'ils ont touché essentiellement une population jeune.

La drogue

La drogue est souvent présente au cours de ces fêtes. Elles accompagnent une conception de la free-party comme une transe libératrice. Les travellers ont créé un véritable lien entre des spots très distants : Inde/Afrique/Asie/Amérique du Sud où les transes communautaires font un usage social de drogues psychédéliques. Le mouvement free est indissociablement lié à l'usage de substances pour amplifier ou illuminer la conscience personnelle (la transe), et éliminer le sentiment de fatigue (effets bien connus des amphétamines). L'évolution (certains diront « décadence ») de cet esprit tribal, a amené les revendeurs et une petite foule de délinquants et autres ' parasites '. Les principales drogues consommées sont le cannabis, l'ecstasy (appelé taz), le LSD (appelé trip ou peutri) et la cocaïne, kétamine. Depuis quelques années, les opiacés (héroïne, opium (sous le nom de rabla), rachacha...) sont de plus en plus utilisés dans le but de limiter la sensation de dépression liée à la descente des drogues excitantes et hallucinogènes.

Les participants à ces fêtes n'ont pas tous le même comportement face aux drogues. Certains ne prennent aucune drogue et vont dans ces fêtes dans le seul but de danser et de faire la fête. D'autres vont dans ces soirées avec comme but non avoué de consommer des stupéfiants. Enfin, il existe une catégorie de personnes passionnées de techno ayant un usage récréatif et modéré de ces substances. À noter que certains participent à ces soirées dans le seul but de vendre de la drogue, ceux-ci ne sont pas appréciés par les teufeurs car ils dégradent l'image de ces rassemblements et les transforment parfois en « supermarché » de la drogue.

A noter que le phénomène social concernant les stupéfiants a été pris au serieux par le mouvement Free qui ne se contente pas de fermer les yeux sur le problème et s'efforce, au contraire, par l'intermédiaire d'association (ASUD, Preven'teuf, Techno+...) ou d'ONG (Medecin du Monde, Croix Rouge...) présentes sur les lieux de festivité, de mener à bien des campagnes de prévention et de réduction des risques.
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MessageSujet: Re: Définition d'une Free party - Wikipédia   Définition d'une Free party - Wikipédia EmptySam 21 Jan - 6:31

La répression

C'est au début du mois de mai 2001 que Thierry Mariani dépose, lors des discussions sur le projet de loi sur la sécurité quotidienne (LSQ), un amendement visant à autoriser la police à saisir le matériel dans les free-party, sous contrôle d'un officier de police judicaire. Cet amendement, après avoir été remanié par Daniel Vaillant, est voté par le Sénat le 29 mai 2001. Il est alors inséré dans l'article 23 de la loi 95-73 sur la sécurité quotidienne. Il stipule que les rassemblements à caractère musical organisés par des personnes privées dans des lieux non aménagés et qui ne répondent pas à des critères, fixés par le conseil national, d'organisation et de prévention des risques susceptibles d'être encourus par les participants doivent être déclarés aux préfets des départements dans lesquels l'évènement doit avoir lieu. À cette déclaration doit être jointe une autorisation du propriétaire du terrain. Le préfet est libre de refuser le rassemblement si les critères ne sont pas respectés. Dans le cas où un rassemblement se tiendrait sans déclaration préalable ou malgré une interdiction du préfet, le matériel de son pourra être saisi et les organisateurs punis d'une peine de prison et de 7500 euros d'amende.

En réponse à cette amendement, des députés socialistes et de nombreux autres membres du gouvernement réagissent. C'est pourquoi Lionel Jospin se voit contraint d'annoncer, le 5 juin 2001, le retrait du dispositif anti-raves lors de son passage en deuxième lecture à l'assemblée. Le 26, tous les textes encadrant les fêtes techno dans le projet de loi sur la sécurité quotidienne sont retirés.

À la fin de l'année 2001, après les attentats du 11 septembre, le débat sur la sécurité est relancé et le 31 octobre 2001 est votée une loi dans laquelle on retrouve les précédents amendements un peu retravaillés, ne s'appliquant désormais qu'aux rassemblements réunissant du public sur un terrain pouvant recevoir plus de 250 personnes, soit 90m². Le décret d'application de l'article 53 de la LSQ, dit décret Vaillant, signé le 3 mai 2002, en pleine tourmente des élections présidentielles (le candidat du Front national ayant obtenu 18% des suffrages au premier tour), est pourtant signé par le Premier ministre Lionel Jospin.

La Loi sur la sécurité intérieure proposée par Nicolas Sarkozy en octobre 2002 renforce ces interdictions, mais la circulaire de juillet 2001 appliquant le décret de son prédécesseur tente de faire une traduction pratique d'un dècret assez flou et invite les agents de la force publique à travailler avec les associations de terrain.

L'association Technopol, association pour la défense, la reconnaissance et la promotion des cultures, des arts et des musiques électroniques, dépose un recours auprès du Conseil d'État pour demander l'annulation du décret d'application au motif que le texte fait peser un régime d'autorisation et non un régime de déclaration comme il a été présenté par le Gouvernement aux députés de l'Assemblée nationale.

Le recours a été rejeté et le texte reste appliqué de manière floue. Ainsi des manifestations payantes de plus de 1500 personnes se voient obligées de répondre à ce texte, alors qu'il ne s'applique qu'à des fêtes gratuites, comme l'a précisé le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy dans une réponse écrite au syndicat des producteurs de spectacle vivant (Prodiss).

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Les réactions
A l'annonce du vote de cette loi, nombreuses ont été les initiatives de protestation, mais elles n'ont pas rencontré le succès espéré (la plupart des teufeurs étant à l'époque, soit trop certains de la pérénnité de leur mouvement, soit suffisamment motivé pour faire la fête mais pas assez pour en défendre les preceptes).
Il est apparu necessaire, dès les premières saisies, pour la survie de ce mouvement culturel, d'ouvrir les négociations avec le gouvernement. Un peu chaotique dans un premier temps, ces dernières ont finalement pu se structurer, le gouvernement nommant des médiateurs par prefecture et faisant tourner des circulaires afin d'endiguer certains problèmes souvent liés aux refus systématiques des demandes d'organisations (pas toujours justifié aux yeux des organisateurs) ; et les teufeurs s'organisant en collectifs ou associations (Le Collectifs des Sound system, Chep'Art, CTAC, Korg'n Heol...) afin de mener à bien les réunions pour que chaque parties puissent offrir les garanties necessaires au bon déroulement des soirées (des médiateurs issus de ces collectifs servant d'interlocuteurs avec les administrations, aidés ensuite par des bénévoles afin de programmer une organisation logisitque cohérente avec les autorités).
Depuis quelques années, de grands rassemblements ont fait figure de modèle de coopération entre l'État et le mouvement teufeur, même si le déblocage de terrains pose toujours quelques difficultés, le dialogue se fait plus simple bien que l'on regrette que ce dernier soit souvent inhérent au climat et ambitions politiques du moment (en témoigne le récent changement de la loi par décret qui porte à 500 (au lieu de 250) le nombre de participants avant déclaration obligatoire qui, malgré la promesse d'une parution éminente se fait encore attendre).
La volonté de coopération et de négociation reste toujours d'actualité malgré tout entre les autorités et le mouvement.

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Exemples de grands rassemblements
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En France
Les plus grandes Free party en France sont les Teknival qui durent 3 ou 4 jours.

1er mai 2001, premier Teknival sur le site de Marigny, probablement le dernier qui a, un tant soi peu, échappé à la médiatisation de masse.
août 2001, un teknival réunissait plus de 12 000 personnes sur le Causse Méjean (Lozère).
1er mai 2002, Teknival de Mer (41), dernier "Teknival du 1er Mai" (Teknival Européen) illégal avant l'application de la loi.
août 2002, plus de 20 000 teufeurs se retrouvaient dans les Alpes au bord de la frontière italienne, malgré des barrages policiers.
15 août 2003, en marge du festival Larzac 2003, quelques 40 000 personnes se réunissent sur le chantier de construction d'une autoroute, après que le lieu est négocié entre les organisateurs et les autorités.
1er mai 2003, deuxième Teknival organisé sur la base désaffecté de Marigny, avec l'accord des autorités.
Le 20 juillet 2003, les forces de l'ordre confisquent tous les sound system se rendant au teknival de Carhaix, avant même que ceux-ci soient descendus des camions, puis attaquent à la grenade offensive, dévastant le bourg du Faouët. Un jeune a la main arrachée, de nombreux autres sont grièvement blessés. (Récit complet sur http://www.futureworldfunk.be/articlecentre.php3?id_article=537)
1er mai 2004, le teknival de Chambley réunit près de 90 000 personnes sans incident notable.
1er mai 2005, le teknival de Marigny réunit officiellement 55 000 personnes. L'évènement est marqué par deux décès ainsi que par une présence sur les lieux d'une invasion de chenilles urticantes, connus sous le nom Euproctis chrysorrhoea ou encore de Cul-brun.
début juin 2005 tehnoz de callac en bretagne
28 août 2005, date traditionnelle du Teknival du Sud qui aura cependant lieu à Crucey (28) suite à des négociations toujours délicates (principalement sur le choix des terrains à utiliser) avec les autorités et élus locaux.
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Dans le reste du monde
Elles ne sont pas classées par pays mais par date d'ancienneté. Pour la plupart il s'agit de celles qui ont connu plusieurs éditions et qui ont attiré le plus de participants.

Genesis'88 - Londres, Royaume-Uni; 1988–1990; http://groups.yahoo.com/group/acidhouse88/
Love Parade - Allemagne; 1989–2003; http://www.loveparade.de/
Rezerection - Royaume-Uni; 1990–2005; http://www.rezerection.net/
Heaven On Earth - Northampton, Royaume-Uni; 1991
Mayday - Allemagne; 1991–2005; http://www.mayday.de/
Fantazia - Royaume-Uni; 1991–1993; http://www.fantazia.org.uk/
Storm Rave - New York, États-Unis d’Amérique; début des années 1990
NASA - New York, États-Unis d’Amérique; début-milieu des années 1990
Castlemorton - Royaume-Uni; 1992
RaDiANCE- Austin, Texas, États-Unis d’Amérique; 1992–1993
Street Parade - Suisse; 1992–2005; http://www.streetparade.ch/
Mysteryland - Pays-Bas; 1993–2005; http://www.mysteryland.com/
Furthur and Even Furthur - États-Unis d’Amérique; 1994–2001; http://www.dropbass.net/
Dance Valley - Pays-Bas; 1994–2005; http://www.dancevalley.nl/
Zoolu - La Nouvelle-Orléans, Louisiane et Los Angeles, États-Unis d’Amérique; 1994–2005; http://www.discoproductions.org/
World Electronic Music Festival (WEMF) - Toronto, Canada; 1994–2005; http://www.wemf.com/
Nature One - Allemagne; 1995–2005; http://www.nature-one.de/
G-Move - Allemagne; 1995–2005; http://www.gmove.de/
Tunnel Rave - Allemagne; 1995–2001; http://www.1200bpm.de/
Time Warp - Allemagne; 1995–2005; http://www.time-warp.de/
Rave on Snow - Autriche; 1993–2005; http://www.raveonsnow.de/
Rave and Cruise - Mer Méditerranée; 1997–2001
Hullabaloo - Toronto, Canada; 1997–2005; http://www.hulla.info/
Nocturnal Wonderland - Los Angeles, Californie, États-Unis d’Amérique; 1997?–2005
Electric Daisy Carnival (EDC) - Californie; 1997–2005; http://www.electricdaisycarnival.com/
Earthdance - monde entier; 1997–2005; http://www.earthdance.org
Winter Music Conference (WMC) - Floride, États-Unis d’Amérique; 1997–2005; http://www.wintermusicconference.com/index.php
Chaos Party - Salt Lake City, Utah, États-Unis d’Amérique; 1998–2005
Together as One - Los Angeles, Californie, États-Unis d’Amérique; se tient la veille du nouvel an; 1998–2005
Ultra Music Festival - Miami, Floride, États-Unis d’Amérique; 1998–2005; http://www.ultramusicfestival.us
J18 / Carnival Against Capitalism - Londres, Royaume-Uni; 1999
Detroit Electronic Music Festival (DEMF) / Movement / Fuse-In - Détroit, Michigan, États-Unis d’Amérique; 2000–2005; http://www.fuse-indetroit.com/
Goodfellaz - Toronto, Canada; 2000–2005; http://www.goodfellaz.ca/
Luv2K - Salt Lake City, Utah, États-Unis d’Amérique; 2000–2005
The Sequence - Salt Lake City, Utah, États-Unis d’Amérique; 2001–2005; http://www.summersequence.com/
NFR - Salt Lake City, Utah, États-Unis d’Amérique; 2001–2005
Amplified - Salt Lake City, Utah, États-Unis d’Amérique; 2003–2005
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Divers
Une Street party est une free party organisée dans les rues de grandes villes, avec ou sans l'autorisation des autorités (en France, l'autorisation de manifester se demande en préfecture et est un droit), où musique, politique et fête se mèlent.

Une Techno parade est une manifestation festive organisée chaque mois de septembre par l'association Technopol (www.technopol.net) depuis 1998. Alors que cet événement est devenu aujourd'hui une fête populaire du calendrier parisien, la première édition a eu comme consèquence directe la circulaire inter-ministèrielle (Culture, Intérieur & Défense) reconnaissant l'aspect culturel de la techno. Cette circulaire vient atténuer les effets de la circulaire Pasqua de janvier 1995 appelée "raves, des phénomènes à haut risque". Un haut risque est un cyclone, un tremblement de terre, etc. Aujourd'hui, la Techno Parade reste une manifestation non commerciale organisée par une association, ce qui est en fait la seule du genre dans le monde des parades techno, et attire près de 400 000 participants chaque année.

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Voir aussi
World Travaller Adventures

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Articles Connexes
Temporary Autonomous Zone
Techno
Teknival
Sound system
Teufeur
Tekno
Contre-culture
World Traveller Adventures
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Liens externes
Le « non-manifeste » des Spiral Tribe.
Le site de Network 23, groupe de musiciens dont les productions étaient jouées sur le sound system des Spiral Tribe.
3Boom : Site regroupant de nombreuses informations sur les free-parties, des comptes-rendus, photos et autres ...
site communautaire SoundCirkle, orienté resources regroupant divers artistes, sound system, activistes de la Free culture.
Site d'Alan Lodge, alias Tash, photographe britannique s'intéressant particulièrement aux travellers, aux free parties et à leur répression par la police britannique.
« Network 23 - The legendary mp3 archive » Quelques mp3 de Network 23.
Tekalouest : Site Français sur la Free culture.
Tekalombre : Successeur du forum Ici l'Ombre, un des premiers forums sur la culture Free
Tekitizy : Actualité et reports des Freeparty, Agenda, Partage de créations musicales, Base d'informations, Forum
Une free racontée de façon subjective
site officiel de Suburbass, un des artistes issus de la scène Free
Site et radio d'underground electronik musik
TAZ ou guerre populaire prolongée ?
Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Free_party »



http://fr.wikipedia.org/wiki/Free_party
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